Culture et traditions
L’Inde est un des plus recherchés après les destinations de vacances à travers le monde. Il est connu pour ses riches traditions et coutumes.La culture et la traditions indiennes sont inséparables de la religion. c’est un pays où la religion marque tous les instants de la vie quotidienne et joue un rôle important.
Les Guirlandes
Elles sont généralement offertes en signe de respect, pour faire honneur aux visiteurs, ou en hommage à une divinité. Elles sont habituellement fabriquées avec des feuilles de fleurs de jasmin et de souci, qui sont insérées sur une corde avec un noeud à l'extrémité.
Le mariage
Des femmes parées de bijoux, de musiciens folkloriques, et même d’éléphants dans les rues... Plus qu’une union, le mariage indien est un événement social majeur qui répond à des règles traditionnelles parfois compliquées.
Avant le mariage, des rituels très importants sont menés pendant plusieurs mois. Après la soirée des fiançailles, les femmes et les hommes font la fête séparément. Tandis que les femmes organisent la cérémonie du Mehndi (peinture des mains au henné) et la soirée du Sangeet, pendant laquelle elles chantent et dansent toute la nuit, les hommes se réunissent pour le rituel de la tika, pastille de poudre rouge déposée au front du futur marié comme signe de son engagement. La cérémonie du mariage a généralement lieu en plein air sur un autel : les futurs époux font sept fois le tour du feu sacré tout en récitant leurs vœux d'amour.
Les familles consultent un astrologue qui fixe la date et l'heure les plus auspicieuses pour le mariage. De même, les gestes et rituels ancestraux sont effectués dans un but symbolique et porte-bonheur. Le henné appliqué sur les mains de la mariée doit être foncé et persistant, comme signe de joie dans le couple. Avant de rejoindre son nouveau foyer, la mariée jette derrière sa tête cinq poignées de riz, signifiant ainsi qu'elle souhaite prospérité à ses parents. Au moment où la voiture des nouveaux mariés va partir, les hommes lancent de l'argent sur les routes pour conjurer le mauvais sort.
Le mariage indien célèbre l'amour mais aussi l'argent. De nombreuses familles n'hésitent pas à s'endetter pour offrir des cérémonies fastueuses, devenues une véritable démonstration de pouvoir financier. Et cette tendance ne fait que s'accentuer. L'industrie du mariage en Inde est estimée à 60 milliards de roupies (1 milliard d'euros), avec un taux de progression de 20 à 25 % par an. Les soirées ressemblent parfois à de véritables scènes de films, avec tenues de grands designers, danseurs venus tout droit de Bollywood et plusieurs centaines d'invités.
L'humour est aussi présent dans le mariage indien, mais les plaisanteries sont codifiées et laissent peu de place à l'improvisation. Ainsi depuis plusieurs siècles, la mère de la mariée essaie de pincer le nez de son gendre pendant le mariage, symbolisant le fait qu'il soit venu demander la main de sa fille en furetant près de la maison. Les plus malines sont les sœurs de la mariée qui, le jour du mariage, prennent les chaussures du marié en otage et ne les rendront qu'en échange de cadeaux.
Pour terminer, si à tout hasard vous avez la chance d’assister à un tel mariage, n’oubliez surtout pas de souhaiter aux mariés beaucoup de compréhension et d’écoute. Parce que le divorce n’est pas une option en Inde. Ou du moins pas encore.
Avant le mariage, des rituels très importants sont menés pendant plusieurs mois. Après la soirée des fiançailles, les femmes et les hommes font la fête séparément. Tandis que les femmes organisent la cérémonie du Mehndi (peinture des mains au henné) et la soirée du Sangeet, pendant laquelle elles chantent et dansent toute la nuit, les hommes se réunissent pour le rituel de la tika, pastille de poudre rouge déposée au front du futur marié comme signe de son engagement. La cérémonie du mariage a généralement lieu en plein air sur un autel : les futurs époux font sept fois le tour du feu sacré tout en récitant leurs vœux d'amour.
Les familles consultent un astrologue qui fixe la date et l'heure les plus auspicieuses pour le mariage. De même, les gestes et rituels ancestraux sont effectués dans un but symbolique et porte-bonheur. Le henné appliqué sur les mains de la mariée doit être foncé et persistant, comme signe de joie dans le couple. Avant de rejoindre son nouveau foyer, la mariée jette derrière sa tête cinq poignées de riz, signifiant ainsi qu'elle souhaite prospérité à ses parents. Au moment où la voiture des nouveaux mariés va partir, les hommes lancent de l'argent sur les routes pour conjurer le mauvais sort.
Le mariage indien célèbre l'amour mais aussi l'argent. De nombreuses familles n'hésitent pas à s'endetter pour offrir des cérémonies fastueuses, devenues une véritable démonstration de pouvoir financier. Et cette tendance ne fait que s'accentuer. L'industrie du mariage en Inde est estimée à 60 milliards de roupies (1 milliard d'euros), avec un taux de progression de 20 à 25 % par an. Les soirées ressemblent parfois à de véritables scènes de films, avec tenues de grands designers, danseurs venus tout droit de Bollywood et plusieurs centaines d'invités.
L'humour est aussi présent dans le mariage indien, mais les plaisanteries sont codifiées et laissent peu de place à l'improvisation. Ainsi depuis plusieurs siècles, la mère de la mariée essaie de pincer le nez de son gendre pendant le mariage, symbolisant le fait qu'il soit venu demander la main de sa fille en furetant près de la maison. Les plus malines sont les sœurs de la mariée qui, le jour du mariage, prennent les chaussures du marié en otage et ne les rendront qu'en échange de cadeaux.
Pour terminer, si à tout hasard vous avez la chance d’assister à un tel mariage, n’oubliez surtout pas de souhaiter aux mariés beaucoup de compréhension et d’écoute. Parce que le divorce n’est pas une option en Inde. Ou du moins pas encore.
Habillement
L'Inde est une terre de couleurs et de cultures diverses, et cette évidence est visible aussi dans les tenues diverses que portent les gens. La façon traditionnelle indienne de s'habiller est marquée par des variations, autant religieux que régionaux, avec un large choix de textures et de styles. Le sari simple est drapé par les filles et femmes indiennes de régions différentes dans un style différent. La robe traditionnelle pour les femmes du Rajasthan ou du Gujarat est la Ghagra choli colorée, composée d'une jupe, d'un chemisier près de corps et d'un foulard. Les femmes de l'Inde du Sud portent des demi-saris avec la duppatta (le foulard). Les Churidar Kurta sont portés par les femmes en Inde du Nord. Il s'agit d'un ensemble de pantalon, tunique et foulard ; cette tenue est devenue très populaire de nos jours et se porte partout. Néanmoins, le style d'habillement occidental se développe de plus en plus parmi la jeunesse urbaine.
LE SYMBOLISME DU VETEMENT :
La profession, la caste, la religion et la mythologie influent toutes sur la façon dont le sari est drapé. Certains saris ont besoin de huit mètres de tissu et ont des plis qui évoquent le côté mâle et le côté femelle du corps comme représentés dans la philosophie indienne. La plupart des castes drapent leurs saris vers la gauche mais certaines se distinguent en le
faisant vers la droite. La religion et la position des femmes dans la société ont également influencé la façon dont leur corps était couvert par le sari.
La beauté et la grâce incomparables des saris en ont fait le vêtement favori des femmes indiennes les plus élégantes. Un peu comme les dernières modes parisiennes, les femmes de l'Inde continuent d'apprécier le côté pratique et l'esthétique d'un sari élégamment drapé, tandis que les hommes qu’ils soient indiens ou européens en admirent la sensualité.
LE SYMBOLISME DU VETEMENT :
La profession, la caste, la religion et la mythologie influent toutes sur la façon dont le sari est drapé. Certains saris ont besoin de huit mètres de tissu et ont des plis qui évoquent le côté mâle et le côté femelle du corps comme représentés dans la philosophie indienne. La plupart des castes drapent leurs saris vers la gauche mais certaines se distinguent en le
faisant vers la droite. La religion et la position des femmes dans la société ont également influencé la façon dont leur corps était couvert par le sari.
La beauté et la grâce incomparables des saris en ont fait le vêtement favori des femmes indiennes les plus élégantes. Un peu comme les dernières modes parisiennes, les femmes de l'Inde continuent d'apprécier le côté pratique et l'esthétique d'un sari élégamment drapé, tandis que les hommes qu’ils soient indiens ou européens en admirent la sensualité.
Le saree
Cette longue pièce de tissu 5,5 mètres de longueur,se porte par-dessus un jupon long retenu à la taille par un cordon plutôt que par une bande élastique. En effet, le sari sera rentré sous la ceinture , il faut donc pouvoir de la serrer suffisamment pour garder toute cette étoffe en place! Légèrement évasés, les jupons sont plus ajustés à la taille pour être bien lisses sous le sari,
les saris sont faits de coton, de soie, de fibres synthétiques ou de fibres mélangées. Motifs et bordures... le plus souvent, la bordure inférieure est richement décorée.
petites précisions pour le choix des tissus :
n'hésiter en aucun cas sur le flashy, cela passe très bien là-bas...mais aussi en France!
choisir des tissus de préférence en coton et si possible très léger ! Cela se lave en 5 min le soir et le matin c'est sec!
La couleur du sari possède originellement une signification.
Blanc : couleur traditionnelle des brâhmanes ou prêtres (la teinture étant considérée comme impure), c'est aussi la couleur du deuil, portée donc par les veuves.
Vert : jadis la couleur de la caste des vaishya (marchands). Elle est aujourd'hui surtout un signe d'appartenance à la communauté musulmane. Des saris verts sont portés aussi, dans certaines régions de l'Inde, pour le mariage.
Bleu : traditionnellement la couleur de la caste des shûdra (agriculteurs, artisans, tisserands...). Elle était évitée par les castes élevées (le procédé d'obtention de l'indigo étant considéré comme particulièrement impur).
Noir : couleur traditionnellement rare, considérée de mauvais augure.
Rouge : couleur de la caste des kshatriya (nobles guerriers). Censée être de bon augure. C'est également la couleur la plus habituelle des saris de mariage.
Jaune et safran : son symbolisme est lié à la religiosité, à l'ascétisme. Dans certaines régions de l'Inde, une tradition veut qu'une mère porte un sari jaune sept jours après la naissance de son enfant.
les saris sont faits de coton, de soie, de fibres synthétiques ou de fibres mélangées. Motifs et bordures... le plus souvent, la bordure inférieure est richement décorée.
petites précisions pour le choix des tissus :
n'hésiter en aucun cas sur le flashy, cela passe très bien là-bas...mais aussi en France!
choisir des tissus de préférence en coton et si possible très léger ! Cela se lave en 5 min le soir et le matin c'est sec!
La couleur du sari possède originellement une signification.
Blanc : couleur traditionnelle des brâhmanes ou prêtres (la teinture étant considérée comme impure), c'est aussi la couleur du deuil, portée donc par les veuves.
Vert : jadis la couleur de la caste des vaishya (marchands). Elle est aujourd'hui surtout un signe d'appartenance à la communauté musulmane. Des saris verts sont portés aussi, dans certaines régions de l'Inde, pour le mariage.
Bleu : traditionnellement la couleur de la caste des shûdra (agriculteurs, artisans, tisserands...). Elle était évitée par les castes élevées (le procédé d'obtention de l'indigo étant considéré comme particulièrement impur).
Noir : couleur traditionnellement rare, considérée de mauvais augure.
Rouge : couleur de la caste des kshatriya (nobles guerriers). Censée être de bon augure. C'est également la couleur la plus habituelle des saris de mariage.
Jaune et safran : son symbolisme est lié à la religiosité, à l'ascétisme. Dans certaines régions de l'Inde, une tradition veut qu'une mère porte un sari jaune sept jours après la naissance de son enfant.
Salwar kameez
Le Kameez est une tunique qui arrive au genou. Majoritairement en coton c’est l’habit de base, pratique et léger que tout le monde porte, dans des couleurs, des motifs, et des coupes tellement variées qu’aucune ne se ressemble. On porte le Kameez sur un Salwar (pantalon bouffant en haut). Accompagné d’une dupatta les longues écharpes ou étoles assorties qu’elles portent sans les enrouler, en faisant pendre les deux extrémités dans leur dos. Ce genre de vêtement peut être considéré comme « tenue formelle » pour aller travailler.
choli sharara
Le tissu, dupatta, est toujours là comme pour le Slawar Kameez. Cette tenue comprend également un choli (haut ) et pour finir elle s’accompagne d’une longue jupe que l’on appelle Sharara. L’avantage majeur, ici est la simplicité et surtout la facilité pour enfiler cette tenue contrairement au Sari.
Kurta
La même chose qu’un Salwar Kameez à mes yeux. Il existe des kurta (le haut) courtes et longues, pour homme et pour femme. On porte la kurta en général sur un legging appelé churidar qui est plissé en bas. La kurta est aussi une tenue formelle pour le travail.
Le bindi
C’est la marque de couleur sur le front des Hindous.Son objectif peut-être d’attirer une bénédiction, ou la chance. Le point d'application, entre les sourcils, est considéré comme le siège de la sagesse latente et la concentration mentale, le troisième œil de la connaissance spirituelle. Le sens symbolique serait donc de faciliter l'ouverture. Pour les adeptes de Shiva, ce sont trois barres horizontales. Les adeptes de Vishnu ont, eux, trois bandes verticales. Le centre rouge représente normalement la radieuse Lakshmi, épouse de Vishnu Narayan.
Le Bindi (du sanskrit «bindu point») est un cercle de couleur qui se dessine également sur le front. Considéré comme un symbole de la déesse Parvati, il représente l'énergie féminine, la protection de la femme et de son mari. C’est également le signe que la femme qui le porte est mariée. La couleur peut changer d’un jour à l’autre, et les femmes Hindoues peuvent la faire varier pour l’accorder à la couleur de leur robe !
Le Bindi (du sanskrit «bindu point») est un cercle de couleur qui se dessine également sur le front. Considéré comme un symbole de la déesse Parvati, il représente l'énergie féminine, la protection de la femme et de son mari. C’est également le signe que la femme qui le porte est mariée. La couleur peut changer d’un jour à l’autre, et les femmes Hindoues peuvent la faire varier pour l’accorder à la couleur de leur robe !
Le henné
« Henné » est un mot ourdou qui vient de l'arabe, mais la teinture brune obtenue à partir des feuilles d'une plante, le henné étaient déjà connue dans la vallée du Nil par les Egyptiensk, qui l’utilisait notamment pour embaumer les momies. Le Henné est très commun dans le Rajasthan. Les hindous l’appellent Mehndi, comme la cérémonie pendant laquelle on peint les pieds et les mains des futures mariées.Le fiancé n'est pas supposé être présent lors de la cérémonie du mehendi du henné car son nom est inscrit dans la paume de la jeune femme. S'il découvre son nom caché au milieu de tous ces dessins il sera le partenaire dominant sinon, il se soumettra aux directives de sa tendre épouse. Et si la couleur de mehendi est très foncée alors la jeune épouse recevra beaucoup d'amour de sa belle-maman.
Henné ou Mehndi est également identifié dans le monde entier pour ses propriétés médicinales. Il a été, dans la réalité, utilisé comme un cosmétique dans des temps plus tôt en raison de ses caractéristiques thérapeutiques. Mehndi est largement adopté dans le monde entier comme un climatiseur ainsi que de teinture pour les cheveux à la fois par les hommes aussi bien que les filles. C'est vraiment un colorant purement naturel qui rend une belle couleur sur les cheveux ainsi que crée un look brillant. Aussi, mehndi est bien connue pour ses effets de refroidissement, donc, utilisé dans les climats chauds de l'Inde ainsi que d'autres nations. Il peut également soutenir en abaissant la température du corps ainsi que des maux de tête apaisent, fièvres, pieds brûlants ainsi que même l'hystérie ou d'un tempérament violent. Il peut rehausser l'éclat de clous, est puissant dans la rigidité musculaire ainsi que même dans jaunisse.
Le henné est en vogue aujourd'hui, avec beaucoup d'expérimentation se passe sur les options pour sa mise en application. Il est vraiment en bonne place désormais utilisé, spécialement à l'intérieur de l'Occident, pour créer des tatouages sur diverses parties du corps. Les tatouages sont produites sur les armes, poignets, autour du nombril, l'épaule ou le dos. Le henné est utilisé en train de devenir pour l'art corporel trop.
Henné ou Mehndi est également identifié dans le monde entier pour ses propriétés médicinales. Il a été, dans la réalité, utilisé comme un cosmétique dans des temps plus tôt en raison de ses caractéristiques thérapeutiques. Mehndi est largement adopté dans le monde entier comme un climatiseur ainsi que de teinture pour les cheveux à la fois par les hommes aussi bien que les filles. C'est vraiment un colorant purement naturel qui rend une belle couleur sur les cheveux ainsi que crée un look brillant. Aussi, mehndi est bien connue pour ses effets de refroidissement, donc, utilisé dans les climats chauds de l'Inde ainsi que d'autres nations. Il peut également soutenir en abaissant la température du corps ainsi que des maux de tête apaisent, fièvres, pieds brûlants ainsi que même l'hystérie ou d'un tempérament violent. Il peut rehausser l'éclat de clous, est puissant dans la rigidité musculaire ainsi que même dans jaunisse.
Le henné est en vogue aujourd'hui, avec beaucoup d'expérimentation se passe sur les options pour sa mise en application. Il est vraiment en bonne place désormais utilisé, spécialement à l'intérieur de l'Occident, pour créer des tatouages sur diverses parties du corps. Les tatouages sont produites sur les armes, poignets, autour du nombril, l'épaule ou le dos. Le henné est utilisé en train de devenir pour l'art corporel trop.
Diwali
Diwali "Fête des Lumières" , parfois appelée Divali ou Deepawali, est une fête majeure du calendrier indien. Son nom est formé des mots sanscrit deepa, "lumière", et awali, "rangée, alignement".
Les festivités durent cinq jours, dont le troisième est le plus important car il est considéré comme le jour de Divali proprement dit.
Ces 5 jours de fête ont tous une signification :
• Dhanteras, le 1er jour, célèbre la naissance de Shri Laksmi
• Narak Chaturdashi, le 2e jour, célèbre la victoire de Shri Krishna sur le démon Narakasura et symbolise le triomphe du bien sur le mal
• Laksmi puja, le 3e jour, est celui de la nuit sans lune où toutes les rues sont illuminées
• Bali Padwa (ou Annakut), le 4e jour, est le jour de nouvel an dans le calendrier Vikram utilisé en Inde du Nord
• Bhai Bij (ou Bhai Tika), le 5e et dernier jour, où l'on échange des cadeaux entre frères et sœurs.
Signification symbolique de Diwali
Diwali fait référence à de nombreux mythes et légendes de l'hindouisme, se rapportant principalement à Vishnu et à son épouse Lakshmi (déesse qui symbolise la prospérité, l’abondance et la beauté).
Hanuman, le dieu singe, et Ganesh, le dieu éléphant fils de Shiva et Parvati, sont aussi célébrés pendant cette fête.
A noter : les Hindous ne sont pas les seuls à célébrer cette fête ; les Sikhs et les Jaïns fêtent également Divali en lui prêtant d'autres valeurs symboliques.
Par ailleurs, cette fête est aussi célébrée hors des frontières de l’Inde, au Népal et dans de nombreux pays où vivent d'importantes communautés indiennes (Royaume-Uni, Singapour et Afrique du Sud).
Les festivités durent cinq jours, dont le troisième est le plus important car il est considéré comme le jour de Divali proprement dit.
Ces 5 jours de fête ont tous une signification :
• Dhanteras, le 1er jour, célèbre la naissance de Shri Laksmi
• Narak Chaturdashi, le 2e jour, célèbre la victoire de Shri Krishna sur le démon Narakasura et symbolise le triomphe du bien sur le mal
• Laksmi puja, le 3e jour, est celui de la nuit sans lune où toutes les rues sont illuminées
• Bali Padwa (ou Annakut), le 4e jour, est le jour de nouvel an dans le calendrier Vikram utilisé en Inde du Nord
• Bhai Bij (ou Bhai Tika), le 5e et dernier jour, où l'on échange des cadeaux entre frères et sœurs.
Signification symbolique de Diwali
Diwali fait référence à de nombreux mythes et légendes de l'hindouisme, se rapportant principalement à Vishnu et à son épouse Lakshmi (déesse qui symbolise la prospérité, l’abondance et la beauté).
Hanuman, le dieu singe, et Ganesh, le dieu éléphant fils de Shiva et Parvati, sont aussi célébrés pendant cette fête.
A noter : les Hindous ne sont pas les seuls à célébrer cette fête ; les Sikhs et les Jaïns fêtent également Divali en lui prêtant d'autres valeurs symboliques.
Par ailleurs, cette fête est aussi célébrée hors des frontières de l’Inde, au Népal et dans de nombreux pays où vivent d'importantes communautés indiennes (Royaume-Uni, Singapour et Afrique du Sud).
Holi
Holi (Fête des couleurs) C’est également l'occasion de déguster les spécialités culinaires préparées pour le festival, et de goûter au fameux thandaï, mélange de lait, d’amandes et de cannabis.
À l'origine, Holi était la dernière occasion de s'amuser avant la dure période de plantations. La fête était célébrée depuis la nuit des temps en Inde du Nord. À la pleine lune, c'est la fête du printemps et de la fertilité, mais aussi un subtil mélange d’hindouisme et de représentations animistes.
Quand : le 8 mars 2012
À l'origine, Holi était la dernière occasion de s'amuser avant la dure période de plantations. La fête était célébrée depuis la nuit des temps en Inde du Nord. À la pleine lune, c'est la fête du printemps et de la fertilité, mais aussi un subtil mélange d’hindouisme et de représentations animistes.
Quand : le 8 mars 2012
Rudaali
lorsqu'une femme se retrouve veuve. Elle doit se dépouiller de tous ses atours, avoir la tête rasée, supprimer toute trace de marque frontale symbolisant son statut de femme mariée (sindur, tikka, pottu, tilak ou bindi) et s'habiller du costume réservé aux veuves. Au Rajasthan, des pleureuses professionnelles, ou rudaalis, se chargent de ces tâches tout en larmoyant de manière ostensible.
Rudaali : pleureuse professionnelle employée en cas de décès. La pleureuse hurle, se frappe la poitrine comme si elle était elle-même concerné par la mort de celui qu'elle pleure. On trouve les rudaalis majoritairement au Rajasthan.
Rudaali : pleureuse professionnelle employée en cas de décès. La pleureuse hurle, se frappe la poitrine comme si elle était elle-même concerné par la mort de celui qu'elle pleure. On trouve les rudaalis majoritairement au Rajasthan.
Sati
Le sati est une tradition hindoue aujourd'hui interdite qui consiste, pour la veuve, à se jeter sur le bûcher de son défunt mari afin de l'accompagner dans l'au-delà. Aujourd'hui les cas de sati sont rares. Le rite du sati, qui concernait moins d'1% des veuves, concernait principalement les femmes de hautes castes. Il fut d'abord interdit en 1829 par la présidence du Bengale (Bengal Presidency) grâce au Sati Prevention Regulation Act et malgré les recours contre cette interdiction, fini par être interdit dans tout le territoire à l'exception de quelques rares états princiers. Aujourd'hui la loi de 1987 visant à l'interdiction du rite du sati punit aussi très sévèrement les incitations ainsi que l'expression de toute vénération comme l'édification de chapelles avec les moulage des mains des sativratas (celles qui vont se sacrifier).
L'Arati
C’est un rituel de vénération, ou qui sert à attirer sur soi ou autrui la bénédiction des dieux et la chance. L’Arati est un plateau en métal avec cinq (le nombre doit toujours être impair) petites lampes qui sont remplis avec du beurre ou de l’huile, et dans lesquelles trempe une mèche en coton. On tourne autour de la divinité ou de la personne à bénir avec ce petit plateau, sur lequel on ajoute des fleurs et de l’encens.
Les Lampes (Deepam ou Jyoti)
Elles favorisent la pureté de l’air en détruisant les impuretés. On utilise généralement comme « carburant » du beurre ou du saindoux, dans lequel on fait tremper un fil de coton torsadé. Leur flamme fournit de l'énergie et contribue à créer des courants positifs. Leur nombre est toujours impair, car les hindous considèrent que les pairs de bougies s’ « annulent » entre-elles. . Si vous regardez, ils sont alignés dans un temple, leur nombre est toujours impair. Dans un puja, ou cérémonie hindoue, le fidèle, une lampe entre les mains, tourne autour de la représentation de la divinité, pour attirer son énergie divine.
Om
Ommmmm....
Ce symbole Hindou est la syllabe répétée à l'infini dans tout l'Orient, et son mantra principal. C'est le son primordial de l'univers, l'essence de tous les sons, qui mêle tous les états de conscience et de profond sommeil. Il se compose en réalité de trois lettres ("AUM") que certains attribuent aux trois grands dieux de la trinité hindoue (Brahma, Shiva, Vishnu). Il est l '«amen» au début et à la fin des prières et des rituels des hindous et des bouddhistes. Il est la force invisible qui circule dans tout le corps et dont les vibrations harmonisent et vivifient l'esprit et la concentration.
La fleur de Lotus (Padma)
La fleur de lotus ou « Padma», » avec ses nombreux pétales, figure non seulement dans l'art et l'architecture, mais est aussi un élément associé à des divinités, qui tiennent parfois cette fleur dans leur main. Dans le cas de Vishnu, on peut voir la fleur de lotus sur son ventre. Elle représente la pureté, la paix et la beauté. C'est aussi un symbole largement utilisé par les bouddhistes et par l’architecture orientale en général.
Hymne national
Jana-Gana-Mana (hindî : जन गण मन ; bengalî : জন গণ মন) est l'hymne national de l'Union indienne, adopté par l'Assemblée constituante, le24 janvier 1950. Il est la première strophe d'un chant écrit et composé par Rabindranath Tagore en 1911 (également auteur de l'hymne bangladais)
TU ES LE SOUVERAIN DES ÂMES
Tu es le souverain des âmes de tous les êtres,
Toi le dispensateur du destin de l'Inde Ton nom réveille les coeurs du Pendjab, du Sindh et du Maratha, du Dravida, d'Orissa et du Bengale ; Il résonne dans les montagnes des Vindhya et de l'Himalaya, Se mêle à la musique de la Yamuna et du Gange. Ton nom chanté monte des ondes de la mer indienne. Ils implorent tes bénédictions et chantent tes louanges. Le salut de tous les peuples repose entre tes mains. Toi le dispensateur du destin de l'Inde. Victoire, victoire, victoire à Toi. |